Friday, March 31, 2006

Poème de Clementia : Le coeur en joie (ou Stances à Marie-Louise)


Le cœur en joie
(ou Stances à Marie-Louise)


Tu avais demandé au poète
D’écrire quelque chose de gai
Pour effacer les rimes trop tristes
Voici donc que ma plume s’apprête
A répondre à ton sage souhait
D’éviter les mots pessimistes

Ma plume et mon cœur veulent chanter
Tout ce qui réjouit notre vie
Ce qui chaque jour nous est donné
Et je veux célébrer la beauté
De cette universelle harmonie
Qui de ses bienfaits nous comble

Oui je veux chanter pour le printemps
Qui voit renaître les fleurs des champs
Qui nous enchante de chants d’oiseaux
Le soleil qui se fait le héraut
De la venue du temps des amours
Et du retour des beaux jours

Je veux aussi célébrer l’été
Les longues siestes, le farniente
Pour tous les fruits charnus qui mûrissent
Pour les belles moissons qui blondissent
Les longues journées ensoleillées
Les baisers sous la voûte étoilée

Et je veux glorifier l’automne
Aux belles récoltes qui nous donnent
Les confitures et les conserves
Qui s’accumulent dans les réserves
Les forêts aux teintes mordorées
Les promenades sous la feuillée

Enfin je raconterai l’hiver
Cette douce apathie de la terre
Et la Nature qui s’ensommeille
Quand autour de l’âtre les cœurs veillent
Saison de réflexion qui prépare
Un autre cycle un nouveau départ

Je chanterai les beaux sentiments
Les épousailles et les serments
De tant de cœurs nobles la Beauté
Et les fortes preuves d’Amitié
Puis la Foi l’Espérance et l’Amour
Sur la nuit le triomphe du jour

Ainsi donc ô belle et gente dame
Tout cela met du baume à nos âmes
Nous donnant tant de belle énergie
Pour nous réjouir de la vie
Faire rayonner autour de nous
Tant de joies à redonner partout



17 mars 2006 - 31 mars 2006


Poème de Clementia : Si j'avais su...


Si j’avais su…


Si j'avais su combien
Je souffrirai par toi
Si j'avais pu savoir
Que j'n’étais rien pour toi
Si j'avais pu prévoir
Que rien n'irait pour nous
Si j'avais pressenti
Ta peur de dire "je t'aime"
Jamais au grand jamais
Je n't' aurais regardé
Jamais au grand jamais
J'n'aurais voulu t'aimer
Jamais au grand jamais
Car j'aurais résisté

Pourtant si j'avais su
La beauté de ton âme
Si j'avais deviné
La douceur de tes lèvres
Si j'avais pu savoir
La chaleur de tes bras
Si j'avais pressenti
Nos si douces étreintes
Et si on m'avait dit
Que tu me dirais belle
J’n'aurais pas résisté
A l'envie de t'aimer
Même si j'avais su
Qu'après je pleurerais
Au moment de partir
Au temps de ton adieu
Lorsque tu n'oserais
Même pas m'en parler
M'annoncer ton départ
Filant comme un voleur

Oui, en dépit de tout
Je sais pourtant que moi
J'aurais voulu t'aimer
Et c'est bien pour cela
Que je t'aime quand même
Et t'aimerai toujours
Malgré ton non-adieu !

31 mars 2006

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 réponse à mon poème, reçue de Jean-Pierre, un ami du Net :

Oui, si j'avais su,
je ne serais pas né
sur cette terre ingrate
c'est pourquoi je suis né
un voile sur la face
afin que malgré tout
la Lumière se fasse !

Jean-Pierre

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NOTE : Ce poème "Si j'avais su..."
fait partie de mon recueil de poèmes "Instants d'Eternité"
que vous pouvez vous procurer en vous connectant sur





Poème : Helpppp !


 j’en ai marre de pleurer,
de sentir mes larmes couler,
hier encore,
j’étais dans tes bras,
heureuse et amoureuse,
aujourd’hui,
j’ai tout perdu,
tes bras, ton amour, tes ’’je t’aime’’, toi...
je suis malheureuse, mais toujours amoureuse,
en quelques minutes ma vie s’est finie,
mais qui suis-je pour toi ?
tu n’est jamais la pour moi !
je ne suis donc rien pour toi ?
moi, pour toi j’aurais fait n’importe quoi...
je t'aime et tu me déteste,
la vie est mal faite...
quand j’y pense,
j’ai peut être fait quelque chose de mal...
mais QUOI ???????????????
je voulais que toi et moi bâtissions un je t’aime éternel ;
mais cet amour m’a été fatal. 

(auteur anonyme - trouvé sur le Net) 


Un beau poème : Mes larmes


 Les larmes sont des cris,

Soit de bonheur,


Soit de tristesse,


Pour moi en ce moment,


C’est des larmes de tristesse, de souffrance,


Je n’arrive pas a les arrêter


Je pleure mon désespoir,
Je crie ma douleur,
Mes larmes sont des mots,
Des mots qui me font peur,
Pleurer me fait du bien,
Me fait souffrir aussi,
Les larmes sont des cris,
Je hurle ma peine,
C'était si bien avant,
Mais aujourd'hui c'est fini,


Je ne crois plus en cette vie,

Maintenant je veux mourir... 


(auteur inconnu - poème trouvé sur le Net)


Vendredi 31 mars - Mon journal


Super, ce matin il y a du soleil... Mais je pense ne pas avoir le temps de me balader en forêt (dommage).

Eh oui, aujourd'hui je vais me consacrer aux derniers préparatifs pour le repas antillais que notre association Mieux Vivre Ensemble à Wittelsheim organise avec l'Association Atlantis demain soir : acheter nappes et serviettes ainsi que le dessert, commander du pain, vérifier aussi que je n'oublie rien... faire le point avec le responsable de l'association antillaise Atlantis...  

Bonne journée à toutes et à tous !
Bisous


Thursday, March 30, 2006

Devinez...



... ce qui se cache derrière les apparences sur cette belle image ? 

Un de toi



UN DE TOI


Il viendra; 
Il viendra tout droit du coeur des étoiles

se poser sur mon bras 
Il viendra et j'aurais mal
Il aura tout
Ce qu'en rêve, j'avais entrevue
Qu'avant lui je n'avais su;
Il aura tout ce qui fait nous. 



Il naîtra

D'un trop grand amour qui vit le jour
Un soir de velours
Il aura de toi
Ce qui me touche, tes yeux et puis ta bouche
Un de toi entre nous
Un de toi. 



Tu seras

Perdu d'aimer éperdument
Toi qui ne nous voulait
A jamais qu'en amants de ma souffrance
nous sera né cette innocense
Près de lui, tu me diras
C'est un peu moi, et c'est tout toi



Il naîtra

D'un trop plein d'amour qui vit le jour
Un soir et rien autour
Il aura de toi
Ce qui fait mouche, tes yeux quand tu me touche
Un de toi entre nous
Un de toi.



Un enfant de toi

Rien qu'à nous
Un de toi
Un enfant de toi
Un de toi
Entre nous
Un de toi
Entre nous
Un de toi
Entre nous
Un enfant de toi
Entre nous 







Une belle "chaîne du Net" : L'amitié


On peut être meilleurs amis d'un an, 
Très bons amis l'année suivante, 
Ne pas se parler souvent l'année d'après, 
Alors je voulais juste te dire, 
Même si un jour on se parle plus trop, 
Tu es unique pour moi et tu a fait un grand changement dans ma vie, 
Je te regarde, te respecte, et t'admire.


Envoie ça à tous tes amis, 
Même si vous ne parlez pas souvent, 
Même si vous n'êtes pas très proches, 
Et envoie-le à la personne qui te l'a envoyé. 
Que tes anciens amis sachent que tu ne les a pas oubliés, 
Et tes nouveaux, que tu ne les oublieras jamais. 
Rappelle-toi, tout le monde a besoin d'un ami, 
Un jour, peut-être tu te sentiras seul, 
Rappelle-toi juste de ce texte, et réconforte-toi en pensant que quelqu'un pense à toi et ne t'oubliera jamais...


Bisous  


Poème de Clementia : Si c'était cela l'amour




Si c’était cela, l’amour ?...



Penser tout le temps à celui qu'on aime, même quand des kilomètres vous en séparent,
Lui faire totalement confiance, ne pas douter de lui, se sentir rassuré près de lui,
L'aimer tel qu'il est, ne rien vouloir changer en lui
(être touché même par ses manies ou ses imperfections, parce qu'elles sont lui, qu'elles nous parlent de lui et de sa manière d'être),
Tellement penser à lui qu'il est toujours présent en nous, et que chaque petit rien du quotidien nous fait encore penser à lui...

Aimer quelqu'un, c'est aussi savoir accepter de renoncer à lui si on voit que son bonheur est ailleurs, si sa vie sans nous est ce qu'il souhaite,
C'est vouloir surtout son bonheur à lui, être heureux tout simplement de savoir qu'il est heureux...

Voilà un peu à quoi ressemble pour moi l'amour,
voilà comment je conçois qu'il faut aimer,
voilà comment j'essaie d'aimer celui qui est dans toutes mes pensées, celui qui est dans mon coeur parce que son âme est en beaucoup semblable à la mienne.


15/09/2005

NOTE : Ce poème "Si c'était cela, l'amour ?" figure dans mon livre
"Une histoire d'amour de Clementia",

que vous pouvez vous procurer en vous connectant sur 

Poème de Clementia : Aimer, c'est...


Aimer, c’est...


Aimer, c'est voir en chaque homme, chaque femme, l'enfant qu'il était, le bébé qui ne demandait que tendresse et protection.
Aimer, c'est voir en l'être aimé sa force et sa maturité, c'est rester tout petit et accepter d'être sous sa protection.

Aimer, c'est vouloir que l'être aimé soit heureux, selon ce qui est bon pour lui et selon ses souhaits.
Aimer, c'est accepter de te remettre en question pour faire le bonheur de l'être aimé, même dans l'abnégation et le renoncement.

Aimer, c'est donner de ton temps, de tes forces, de tes heures de sommeil, pour celui qui a besoin de ta présence, de ta disponibilité, de ton écoute, de ton aide.
Aimer, c'est accepter la présence, la disponibilité, l'écoute et l'aide de celui qui te donne de son temps, de ses forces et de ses heures de sommeil.

Aimer, c'est savoir te taire et écouter plutôt que d'être un moulin à paroles, c'est essayer de comprendre ce que pense l'être aimé plutôt que d'imposer tes idées et ta compréhension.
Aimer, c'est savoir te confier, savoir ouvrir ton coeur et partager tes pensées avec l'être aimé.

Aimer, c'est savoir t'effacer plutôt que de vouloir la première place.
Aimer, c'est savoir accepter que l'être aimé te donne la première place, alors que tu aurais préféré rester discret et effacé.

Aimer, c'est veiller en silence à la sécurité de l'être aimé, plutôt que de t'imposer par la force et le bruit.
Aimer, c'est te sentir en sécurité sous le regard de l'être aimé.

Aimer, c'est être le complément et la différence de l'être aimé.
Aimer, c'est être le double et le complément de l'être aimé...


07/03/2005



NOTE : Ce poème "Aimer, c'est..." figure dans mon livre "Une histoire d'amour de Clementia",
que vous pouvez vous procurer en vous connectant sur



Jeudi 30 mars - Mon journal !


Bonjour Comment allez-vous ? Bien?
Beurk, ce matin il pleut... Enfin je dis beurk, parce que c'est dommage pour le soleil qui reste caché. Mais j'aime l'odeur de la pluie dans le petit matin printanier, alors mine de rien je suis contente quand même !
Cette nuit, j'ai veillé tard, sur mes Sims2, et ce matin j'avais du mal à redémarrer ma journée : une tête un peu de morte-vivante, moi !...  Sans doute un peu les effets pervers de l'heure d'été : pas envie de me coucher le soir venu, et ensuite pas envie de me lever le matin ! Si rien ne vient perturber mon emploi du temps, je crois que je vais retourner sous la couette au courant de la matinée, pour me reposer au son d'une belle musique de méditation.


Wednesday, March 29, 2006

Photos de la soirée poésie du 24 mars

Voici déjà un premier arrivage de photos que notre reporter Jonathan m'a envoyées ce soir par mail.
Ici, on voit les poétesses se préparer à affronter les feux de la rampe !
(on dirait qu'il y a un peu de trac ?...)
de gauche à droite : Annie, Cassandre, Geneviève (au milieu, cachée : Clementia) 

Ah... la soirée semble débuter, les lumières se sont atténuées... 
(Annie, Cassandre et Geneviève)
Clementia adresse quelques mots de bienvenue au public... 
Alors là, Cassandre et Geneviève sont vraiment en pleine concentration...  
Geneviève nous conte Le nettoyage de printemps dans le cottage de Miss Pink 
Le nettoyage de Printemps dans le cottage de Miss Pink est une histoire charmante et pleine d'humour. C'est un agréable début de soirée. 
On chuchote, on se prépare pour la suite, du côté des autres poétesses... 
Myriam nous interprète son poème Je chante ma ville 
Geneviève nous conte La Thur, rivière qui passe à Wittelsheim
Mickaël, le plus jeune de nos deux guitaristes, se prépare à son tour.
Ce soir c'est la première fois qu'il va jouer sur scène !
 
Mickaël se concentre... 
Myriam consulte ses fiches : il est important de bien savoir où l'on en est.
Nous ne voulions négliger aucun détail. 
Clementia annonce la première chanson :Mon enfance à l'orée de Brocéliande
Mon enfance à l'orée de Brocéliande, chantée par Clementia et Annie(qui a écrit la musique sur des paroles de Clementia) avec Jean-Paul et Mickaël aux guitares (zut, ils ne sont pas sur la photo ! dommage pour leur fanclub...) .
Du côté de la table des poétesses...  


Et la suite des photos, eh bien ce sera quand Jonathan me les aura envoyées !
Merci déjà à notre reporter pour ces images. 

Poème de Clementia : Pour une jeune fille trop triste




Pour une jeune fille trop triste…


Une petite fille
Aux beaux yeux étonnés
Toute douce et fragile
Un matin m'était née

Mon bébé je voulais
Toujours te protéger
Te chérir et t'aimer
Tout pouvoir te donner

Puis tes premiers sourires
Premiers jeux, premiers pas
Tes chansons et tes rires
Tu rayonnais de joie

Les années ont passé
Mon bébé a grandi
Et toujours progressé
Tout appris de la vie

Puis tu es devenue
A ton tour une femme
Tu as un peu changé
Mais gardé ta belle âme

Des amis t'ont lâchée
Vous vous êtes fâchés
Mais il faut se parler
Et tout peut s'arranger

Ne garde pas ta peine
Tout au fond de ton coeur
Non, car cela te mine
Entravant ton bonheur

Tu sais bien mon enfant
Que ta famille t'aime
Quel que soit le moment
Confie-nous tes peines

Même si les bons mots
Ne viennent pas toujours
C'est toute ta famille
Qui t'offre son amour

14/02/2006


NOTE : Ce poème "Pour une jeune fille trop triste"
fait partie de mon recueil de poèmes "Instants d'Eternité"
que vous pouvez vous procurer en vous connectant sur